Assurance automobile temporaire et les différences permanentes

Quiconque subit un préjudice injuste a le droit d’obtenir une indemnisation de la part de celui qui a commis le fait. À défaut de la rubrique « dommages causés à la personne », l’incapacité temporaire fait partie de ce qu’on appelle les dommages biologiques.

Qu’ est-ce que les dommages biologiques temporaires ?

On entend par « dommage biologique » les blessures temporaires ou permanentes àl’intégrité psychophysique de l’ individu, entraînant une réduction de sa capacité sur le terrain quotidienne et dynamique relationnelle, quelle que soit sa capacité à générer un revenu. Elle figure donc parmi les dommages non liés aux actifs.

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dommages biologiques temporaires Les , en particulier, consistent en la période d’invalidité (ou d’incapacité) que la personne lésée a subie avant de se considérer cliniquement guéri à la suite d’un accident, d’une route à gauche ou d’une maladie.

Il configure des dommages biologiques temporaires même lorsque le endommagé ne subit pas de pertes définitives et irréversibles ou de diminutions de sa capacité quotidienne et de travail (invalidité permanente ). Ainsi, vous avez droit à des dommages-intérêts même en cas de récupération sans posthume, quelle que soit sa durée.

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Si, à la fin de la période d’incapacité, la personne lésée n’a pas de conséquences permanentes, elle a droit à une indemnisation pour le préjudice temporaire subi pendant la période de récupération d’une maladie ou d’un accident jusqu’à son rétablissement complet.

Les dommages biologiques temporaires consistent donc en une diminution provisoire de ses aptitudes et capacités, entraînant une incapacité à exercer ses activités personnelles et quotidiennes.

Comment quantifiez-vous l’invalidité temporaire ?

L’ incapacité temporaire est quantifiée avec une période de temps exprimée en jours, et se divise en dommages biologiques temporaires totaux ou partiels. Selon la gravité des conséquences signalées par l’accident ou la maladie, un pourcentage est établi pour les différents degrés d’incapacité.

Il sera de la tâche du coroner d’établir, à travers un examen d’experts, l’analyse des blessures et des certificats médicaux délivrés par le patient, la période d’incapacité temporaire et ses différentes entités au cours de la période de guérison.

Il est considéré comme une incapacité temporaire totale lorsque l’individu n’a pas été en mesure d’exercer ses activités quotidiennes de manière absolue en raison des blessures subies.

Cela se produit par exemple tout au long de la période pendant laquelle la personne endommagée est restée hospitalisée à l’intérieur d’un établissement hospitalier ou en cas de craie des deux membres inférieurs entraînant une perte totale de marche.

A cette période sera a reconnu un pourcentage égal à 100 % d’incapacité temporaire et la personne lésée aura donc droit à une indemnisation complète du montant établi par la loi pour chaque jour d’invalidité temporaire.

Au contraire, si les conséquences n’aboutissaient pas à une réduction totale de sa capacité, on aurait une incapacité temporaire partielle .

Par exemple, 75 % et 50 % de dommages biologiques temporaires sont pris en compte, la période post-hospitalisation, le début de la convalescence , ou la période pendant laquelle la marche des endommagés est possible mais limitée (plâtre, bandage et béquilles).

Dans ce cas, le montant compensé sera fourni proportionnellement au pourcentage d’invalidité provisoire constatée. Par exemple, chaque jour d’incapacité de 50 % est compensé d’une somme égale à la moitié de celle versée en cas d’incapacité totale de 100 %.

Le Dernier les périodes de convalescence et de guérison sont généralement quantifiées dans une mesure de 25 ou 10 %.

Par conséquent, afin de calculer la compensation des dommages biologiques temporaires, tous les jours nécessaires à la guérison et leurs degrés de gravité exprimés en points de pourcentage seront pris en considération.

Exemple :

  • 10 jours d’incapacité totale 100% par séjour à l’hôpital (montant payé en entier x 10 jours)
  • 60 jours d’incapacité partielle à 50% par coulée (demi-quantité x 60gg)
  • 30 jours d’invalidité temporaire à 25% pour la physiothérapie et les difficultés résiduelles de marche (un quart x 30 jours).

Comment calculez-vous l’indemnisation pour les dommages biologiques temporaires résultant d’un accident de la route ?

Dans l’ indemnisation des accidents de la route, les dommages causés à la personne sont divisés en deux macrocatégories : dommages aux biens et dommages biologiques.

Alors que la première concerne la sphère économique de la personne lésée et ses pertes redituelles et matérielles ; la seconde concerne les atteintes à l’intégrité psychophysique de la personne lésée en termes d’invalidité permanente, d’incapacité temporaire, morale et existentielle.

En cas d’accident de la route avec des blessures mineures signalées, donc en dessous de 9 points de pourcentage d’invalidité permanente, les valeurs des montants compensés pour chaque jour d’incapacité temporaire sont établies par le tableau national unique, approuvé annuellement par des décrets ministériels, qui sont publié au Journal officiel.

D’ autre part, en ce qui concerne le règlement des dommages non matériels , les montants établis par les tables judiciaires de Milan pour le règlement des dommages dus à l’incapacité absolue.

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Indemnisation des dommages pour incapacité temporaire résultant d’un accident du travail ou d’une maladie

On parle d’incapacité temporaire même en cas d’accidents du travail et de maladies professionnelles . Le travailleur est indemnisé pour une incapacité temporaire absolue lorsqu’il n’est pas en mesure d’accomplir son travail.

Encore une fois, l’incapacité temporaire est compensée sous la forme d’un journal, calculé sur la base d’une période de temps exprimée en jours.

Pour les 4 premiers jours, la rémunération est à la charge de l’employeur, pour les prochains jours, l’inail versera une indemnité journalière selon les pourcentages suivants :

  • 100% du salaire journalier moyen pour le jour où il s’est produit une blessure ou une maladie professionnelle ;
  • 60% du gain du premier au 90e jour ;
  • 75% du salaire quotidien moyen à partir du 91e jour.

rémunération journalière moyenne est calculée en tenant compte du salaire La des quinze derniers jours précédant l’accident ou la maladie professionnelle.

La différence est supportée par l’employeur jusqu’à ce que 100 % de la rémunération soit atteinte ou conformément aux dispositions du contrat appliqué au travailleur.