De nouvelles formes de structures familiales émergent et encouragent les compagnies d’assurance à créer de nouveaux contrats qui doivent répondre à leurs différentes situations en tant que souscripteurs.
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Plan de l'article
Nouvelles situations familiales
En France, la famille subit de nouveaux changements et de nouvelles situations, bien que les familles dites « traditionnelles » soient largement symbolisées par les familles avec enfants, les assureurs notent une augmentation des divorces et sont obligés de créer de nouveaux paramètres pour ces familles.
La plupart des enfants vivent dans des familles traditionnelles, c’est-à-dire un couple marié, analysé ou cohabité, mais il y a aussi des familles monoparentales et des familles mixtes.
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Avec le développement de la coexistence, la croissance des Pacs et l’acceptation du mariage pour tous, de nouvelles formes de vie conjugale sont créées. En conséquence, les régimes d’assurance s’adaptent à ces situations pour couvrir tous les profils des ménages et des paires existantes.
Forfaits adaptés aux familles
Les différentes compagnies d’assurance proposent généralement des formules adaptées aux différentes situations familiales : personnes vivant seules, couples (mariés, sans enfant, rythme, union de fait), membres d’une famille, juste pour les enfants…
Les formules destinées aux familles et aux enfants traitent de l’assurance scolaire et extrascolaire qui protège la responsabilité des dommages que les enfants peuvent causer à autrui. Ces contrats tiennent également compte d’une garantie individuelle pour les blessures dont les enfants peuvent être victimes.
Théoriquement, l’assurance scolaire protège un enfant qui vit constamment dans le foyer familial, que l’enfant soit hors d’un enfant commun pour le couple ou non. Toutefois, toutes les garanties découlant d’une extension d’assurance ne couvrent que l’enfant avec le nom assuré.
Dans le cas de les familles dites « recomposites », l’assurance familiale protège un enfant vivant alternativement avec l’assuré et l’autre parent dépend des termes du contrat d’assurance. Cela s’applique également aux enfants issus d’une union antérieure d’un conjoint ou d’un partenaire de l’assuré.
La personne qui signe un contrat doit prêter attention à la couverture complète de l’enfant qui est en garde alternée ou de celle de son conjoint. Il en va de même si une famille évolue dans sa forme et sa situation.
Assurance contre les biens et accidents
Un contrat d’assurance de dommages et de dommages est un contrat qui peut varier en fonction des circonstances, son intérêt principal est d’assurer un particulier face aux risques de protection de la vie privée : responsabilité civile, incendie, vol, vandalisme, dommages et autres…
Les garanties de responsabilité protègent ceux qui souscrient à un contrat d’assurance, mais même ceux qui vivent en permanence à la maison. Les garanties générales du contrat auquel l’assuré souscrit définit donc, le cas échéant, les membres de la famille qui peuvent avoir un statut d’assuré, les définitions peuvent varier d’un contrat à l’autre.
En ce qui concerne les familles monoparentales ou mixtes, en plus des contrats d’assurance logement à risques multiples, il existe des offres d’assurance ciblées sur ces types d’assurance familles alimentaires non rémunérées, assurance indemnités compensatoires, protection juridique…
Assurance maladie complémentaire
La souscription à une assurance maladie complémentaire permet à l’assuré de bénéficier d’un remboursement intégral ou partiel de tous les frais de santé non couverts par la Sécurité sociale. Dans le cas d’une famille traditionnelle, un membre qui souscrit à l’assurance maladie complémentaire aura le droit d’enregistrer son conjoint ou conjoint et ses enfants conformément au les conditions prévues dans le contrat. Par conséquent, les enfants bénéficient des mêmes garanties de remboursement.
Ce principe fonctionne également pour une famille reconstituée. Un contrat d’assurance peut couvrir tous les membres d’une nouvelle famille, afin d’accéder à un conjoint, partenaire, partenaire de Pacs ou un enfant, vous devez contacter l’assureur et soumettre la preuve nécessaire à l’adhésion. Certains mortiers familiaux offrent des prestations aux familles nombreuses : des cotisations gratuites au troisième enfant, un niveau de couverture similaire quel que soit le nombre d’enfants qu’ils se trouvent à assurer.
Pour les familles monoparentales, les assureurs offrent des fonds communs de placement spéciaux avec des primes réduites et permettent le remboursement des frais médicaux pour un seul adulte et un enfant. Ce type de fonds commun de placement offre également un niveau de remboursement plus élevé pour les prestations les plus complexes : hospitalisation, soins optiques ou dentaires…
Assurance
voiture L’ assurance auto couvre les dommages financiers causés par le véhicule de l’assuré. Dans le cas où le conducteur déclaré sur un contrat prête sa voiture de temps en temps à un autre conducteur qui n’est pas désigné dans le contrat d’assurance, alors la voiture restera assurée même s’il n’y a pas de relation. Toutefois, une franchise restera à la charge du conducteur occasionnel qui a causé un accident, si le contrat prévoit que les enfants de beaux-enfants ont été désignés comme chauffeur secondaire, aucune allocation ne sera exigée en cas d’accident.
Assurance vie
Quiconque souscrit une assurance-vie a la possibilité de choisir qui peut être admissible à cette assurance pour épargner. À cet effet, il est nécessaire de désigner les bénéficiaires dans le contrat d’assurance. Cela se fait par le biais d’une clause bénéficiaire, cette clause ne convient pas à différentes situations familiales et est rédigée différemment par un abonné lorsque souhaite bénéficier à son partenaire ou à sa concubine, par exemple, ou si la famille est reconstituée. Si les enfants de l’abonné proviennent d’une première union, cette clause sera exécutée en mauvais état. Si le souscripteur décède, son conjoint recevra logiquement le capital du contrat, lorsque le conjoint décède, le capital ne revient pas aux enfants d’une première union du souscripteur parce qu’ils ne sont pas les héritiers du nouveau conjoint. C’est pourquoi il est nécessaire que l’abonné désigne formellement les bénéficiaires, ce qui évite ce type de difficulté.